Dès le début de mandat, remettre à jour le plan vélo
— en mettant en place un comité de suivi opérationnel se réunissant au minimum 4 fois par an ;
— en établissant un budget annuel de 115 millions d'euros
Ce nouveau plan, plus ambitieux, doit être dimensionné pour le futur et l’objectif de 12 % de part modale à conquérir sur celle de la voiture. Il devra inclure un réseau express Vélopolitain, un maillage optimum du territoire et comprendre la construction d’un vrai système vélo.
Il faut qu'il soit accompagné par :
- Un comité de suivi spécifique se réunissant au moins 4 fois par an (associations, expert extérieur, universitaires…).
- Une charte de qualité des aménagements cyclables.
- Un budget cohérent avec l’objectif de part modale, soit 30 euros par habitant, ou doublement, au minimum, du plan vélo en cours).
- Une réduction drastique de la place de la voiture.
Le plan de déplacement urbain fixe l’objectif de 12 % de part modale pour 2030. Face aux enjeux actuels écologiques, économiques, de santé et de bien-être nous considérons que cet objectif manque d’ambition. Nous fixons pour le même horizon de 2030 un objectif de 20%. Il ne pourra pas être atteint sans une priorité claire donnée aux modes de déplacements actifs et collectifs sur les modes motorisés individuels. Le budget pour le mandat de 6 ans est porté ainsi à 125 millions d’euros. Tous les aspects permettant de rendre de nouveau le vélo populaire et sûr seront abordés. Nous avons intégré dans notre programme le réseau express Vélopolitain que Transport Nantes propose. Nous proposons un changement de méthode dans la mise en œuvre du plan de vélo et donc un comité de suivis nous parait une bonne idée.