Adopter un plan vélo ambitieux, financé et concerté en début de mandat qui inclut un réseau cyclable communal, doté d’un comité vélo et d’une charte de qualité des aménagements cyclables.
Comptez vous formaliser une politique vélo à court + moyen + long terme
Prévoyez-vous d'en diffuser publiquement le calendrier de mise en place ?
Commentaire :
Nous avons conscience que les pouvoirs publics et en premier lieu les communes ont un rôle crucial pour développer la pratique du vélo. Les aménagements publics de circulation dédiés au vélo doivent faire l’objet de toutes les attentions et pas seulement de quelques aménagements sans cohérence comme l’a fait la municipalité actuelle. Il devient capital de développer une culture vélo auprès de la population. La municipalité doit permettre de changer les mentalités avec les moyens dont elle dispose. Face au développement de maladies chroniques, à la pollution, à la captation de l’espace par la route, à la congestion automobile, au bruit, favoriser les déplacements en vélo en ville est une nécessité absolue. Des travaux comme ceux menés par Olivier Razemon démontrent que la circulation en vélo peut en plus très favorable au commerce de centre-ville. De plus, face aux grandes métropoles, les villes moyennes ont un rôle à jouer pour montrer que leur taille raisonnable est tout à fait propice au développement doux. Il faut en faire un facteur d’attractivité ! Notre politique de développement doux sera transversal à toutes nos politiques urbaines. Nous commencerons par entretenir l’existant. Dans Montluçon, de nombreux sas et marquage au sol sont effacés. Il convient de procéder à une revisite complète de ces éléments.
Nous avons conscience que les pouvoirs publics et en premier lieu les communes ont un rôle crucial pour développer la pratique du vélo. Les aménagements publics de circulation dédiés au vélo doivent faire l’objet de toutes les attentions et pas seulement de quelques aménagements sans cohérence comme l’a fait la municipalité actuelle. Il devient capital de développer une culture vélo auprès de la population. La municipalité doit permettre de changer les mentalités avec les moyens dont elle dispose. Face au développement de maladies chroniques, à la pollution, à la captation de l’espace par la route, à la congestion automobile, au bruit, favoriser les déplacements en vélo en ville est une nécessité absolue. Des travaux comme ceux menés par Olivier Razemon démontrent que la circulation en vélo peut en plus très favorable au commerce de centre-ville. De plus, face aux grandes métropoles, les villes moyennes ont un rôle à jouer pour montrer que leur taille raisonnable est tout à fait propice au développement doux. Il faut en faire un facteur d’attractivité ! Notre politique de développement doux sera transversal à toutes nos politiques urbaines. Nous commencerons par entretenir l’existant. Dans Montluçon, de nombreux sas et marquage au sol sont effacés. Il convient de procéder à une revisite complète de ces éléments.