Engagements de Raphael Boulbes pour Lyon-Est (circonscription E de la Métropole de Lyon) (69003), au nom de la liste « Pour la métropole du bon sens ».

Adopter (ou renouveler) un plan vélo local ambitieux, financé et concerté, dès le début du mandat

Adopter un plan vélo ambitieux, financé et concerté en début de mandat qui inclut un réseau cyclable communal, doté d’un comité vélo et d’une charte de qualité des aménagements cyclables.
Pour atteindre 15% de part modale du vélo d’ici 2026, il faut au minimum doubler le budget alloué au vélo et passer à 30 euros par habitant/an et un budget minimum de 300 millions d’euros pour 2020-2026. Les associations vélos souhaitent être impliquées tout au long du processus de décision autour du Plan vélo : de la conception jusqu’à la réalisation d’un schéma directeur mais aussi dans la conception d’actions d’accompagnement au changement de pratiques et l’élaboration du budget de ce plan d’actions. Il est également souhaitable que les habitants puissent suivre l’évolution de la réalisation de ces engagements du Plan vélo (via par exemple un outil digital).

Commentaire :
Nous pouvons toujours faire mieux avec ce que l’on a déjà, à la condition de bien allouer les budgets pour éviter le gaspillage, un audit budgétaire sera donc demandé au préalable, ainsi il n’est pas souhaitable d’augmenter la contribution financière par habitants surtout en temps de crise économique. Le plan vélo sera certes modernisé et digitalisé mais à budget constant.

Développer un réseau cyclable cohérent

Créer un réseau express vélo Le Réseau Express Vélo (REV) permettra de relier les communes de la métropole de Lyon entre elles, de périphérie à périphérie, et vers le centre de la métropole, mais aussi de résorber les coupures urbaines. Le REV devra être composé d’axes lisibles, confortables, sécurisants et continus. Il sera d’une largeur suffisante (d’une largeur supérieure à 3,5 mètres) afin d’assurer le confort et la sécurité des cyclistes. Ce réseau cyclable à haut niveau de services répondra à des normes de tracé adaptées à sa vocation structurante. Conformément aux recommandations du Cerema il bénéficiera d’une priorité aux intersections pour être attractif et efficace. Outil d’intermodalité, le REV desservira le plus grand nombre de gares, haltes et stations des réseaux TER et TCL pour favoriser le rabattement à vélo sur les réseaux ferrés et métro et renforcer la complémentarité transports publics + vélo. C'est pourquoi nous sollicitons l'engagement des candidats à la Ville à soutenir le doublement d’aménagements cyclables dans la métropole de Lyon d'ici 2026, soit 2000 km, comprenant notamment la réalisation d'un Réseau Express Vélo de 150 km.

Commentaire :
Pour une cohérence globale du réseau routier, commençons d’abord par repenser le bouclage de l’anneau des sciences avant de mettre en place le REV, justement pour que celui ci soit optimisé et sûr pour les cyclistes.

Créer des pistes cyclables larges, continues et sécurisées, c’est-à-dire séparées physiquement des piétons et des voitures sur les axes à forte circulation suivants : Objectifs pour 2026 : Doubler le nombre de km d’aménagements cyclables dans la métropole de Lyon, soit 2000 km.
Objectifs pour 2026 : Doubler le nombre de km d’aménagements cyclables dans la métropole de Lyon, soit 2000 km.

Commentaire :
Effectivement la sécurité passe par la distinction des voies de circulation entre les piétons, les vélos et les voitures; le tout dans le respect du code de la route.

Mettre le vélo au cœur transformer la gare Part-Dieu en véritable pôle multimodal

Commentaire :
Une gare comme la Part-Dieu doit avoir tous les moyens possibles d’accès à la circulation.

Construire une ville agréable à vivre pour toutes et tous

Repenser le plan de circulation en réfléchissant à la place de la voiture dans la ville. Repenser le plan de circulation permet d’augmenter au maximum le linéaire de rues apaisées. Ce processus de hiérarchisation du réseau viaire a pour objectif, à terme, de ne conserver du transit motorisé que sur des axes susceptibles d’accueillir des pistes cyclables de qualité.
Objectifs d’ici 2026 : quadrupler le nombre de kilomètres de zones de rencontre dans toute la métropole.

Commentaire :
Effectivement nous entrons dans l’ère de l’industrie 4.0, où la ville intelligente doit être fonction des comportements de ses habitants et inscrite dans le cadre de son habitat et de son histoire.

Réaménager les avenues qui sont à 2×2 voies en 2×1 voies, en redistribuant l’espace au profit des transports en commun, des piétons et des vélos. terminer l'aménagement de la rue Garibaldi, réduire le nombre de voies automobiles

Commentaire :
Le réaménagement des voies de circulation doit fluidifier le trafic en favorisant les transports en commun sans pénaliser le travail des commerçants et des taxis, donc le bon sens devra tenir compte de tous ses facteurs économiques afin de faciliter les échanges.

Généraliser la vitesse de circulation à 30 km/h en modifiant l’aménagement des rues pour rendre cette limitation effective (réduction de la largeur de la chaussée, chicanes, ralentisseurs) et développer des zones de rencontre là où le trafic est très limité. Objectifs d’ici 2026 : Généraliser la zone 30 à toute la métropole et régler les feux à 25 km/h pour créer des « ondes vertes » sur les grands axes des villes comportant des aménagements cyclables.
Objectifs d’ici 2026 : Généraliser la zone 30 à toute la métropole et régler les feux à 25 km/h pour créer des « ondes vertes » sur les grands axes des villes comportant des aménagements cyclables.

Commentaire :
Le bon sens veut que les zones 30 soient mise en place où il y a le plus fort risque accidentogène, et surtout à proximité de toutes les zones scolaires. Cependant, pour le reste il n’est pas utile voire nécessaire de tout généraliser à 30km/h, une présence policière accrue sera d’autant plus efficace et mobile que la généralisation et le contrôle général qui devra aller avec ce tout zone 30.

Généraliser les double-sens cyclables, les sas vélo et les cédez-le-passage cycliste aux feux.
Le sas vélo est un aménagement cyclable à part entière et d’une grande utilité pour le cycliste. Il se situe entre le feu tricolore et la ligne pointillée en amont de laquelle doivent s’arrêter les véhicules motorisés. Il permet aux cyclistes d’être mieux visible des autres usagers de la route, en particulier les poids lourds qui tournent à droite. II permet aussi aux cyclistes de se prépositionner sur la partie gauche de la chaussée pour tourner à gauche sans devoir traverser le flot de voitures en mouvement. Objectifs d’ici 2026 : Généraliser les cédez-le-passage cycliste au feu (dans toutes les directions), les sas vélos aux feux et les double-sens-cyclables dans toute la métropole.

Commentaire :
C’est ici une question de sécurité en adéquation avec le code de la route, et donc de bon sens.

Actionner tous les leviers nécessaires au développement du vélo

Offrir du stationnement vélo sécurisé aux cyclistes du Grand Lyon alors qu'ils sont 1 sur 2 a avoir déjà été victime d’au moins un vol de vélo, et 43 % ont été volés plusieurs fois selon l'enquête de Nova7 en juin 2019 auprès de 2 600 cyclistes., en profitant du programme Alvéole de la FUB.
Les 905 places vélo dans les 17 parcs vélo opérés par LPA sont saturées, ainsi que les 600 places vélo dans les P+R du SYTRAL (ils étaient 2 000 inscrits début 2019). Le vol de vélos est le deuxième obstacle à la pratique du vélo, après l’insécurité routière. Objectif d’ici 2026 : Quadrupler l’offre de stationnement sécurisé vélo (10 000 places), et en particulier offrir suffisamment de stationnement sécurisé dans les lieux d'intermodalité Nous sollicitons en particulier l’ouverture dans les meilleurs délais de 500 places vélo sécurisées pour la Gare Part-Dieu en attendant l’ouverture de la vélostation de la Place basse Béraudier en 2024, et l'extension de 1500 à 3 000 places proposées au grand public d'ici 2026.

Commentaire :
Toutes les mesures de protection et de sécurité sont des mesures globales dont ce point sera une aide supplémentaire dans le développement du vélo en ville.

Implanter des arceaux vélos normatifs (proscrire les “arrache roue”) dans toute la commune pour pouvoir accrocher son vélo facilement, notamment près des commerces. L’enquête de Nova7 en juin 2019 a établi que 72 % des cyclistes sont critiques du manque de solutions pour se garer dans la rue, et 66 % à proximité des lieux de loisirs. Une enquête réalisée par La Ville à Vélo auprès de 116 propriétaires d’un vélo-cargo et habitant de la métropole en septembre 2019 a évalué que seul 14 % estiment que les arceaux (quand ils existent et sont disponibles) répondent à leur besoin de stationnement sur voirie.
Objectif d’ici 2026 : Tripler les arceaux sur la voie publique (50 000 arceaux) en prenant compte des besoins spécifiques des vélo-cargos dans le choix et le positionnement du matériel

Commentaire :
Le bon sens veut que les meilleurs moyens techniques puissent être utilisés pour garer son vélo.

Installer des stationnements fermés type vélobox ou espace vélo sécurisé dans des parcs concédés, des locaux ou des garages en rez-de-chaussée pour le stationnement résidentiel et à proximité des pôles d’activité. Les 905 places vélo dans les 17 parcs vélo opérés par LPA sont saturées. Le réseau et les capacités ne sont pas suffisantes pour répondre au besoin de tous les Lyonnais à proximité de leur domicile. L’objectif est d’offrir du stationnement sécurisé diffus pour 48 % des cyclistes qui n’ont aucune solution de stationnement adaptée à leur domicile (type local fermé) et se débrouillent comme ils peuvent selon l’enquête de Nova7 pour la Métropole en juin 2019 : 24 % garent leur vélo dans leur appartement, 14 % dans leur cave, 10 % sur leur balcon…
Objectif d’ici 2026 : > Quadrupler l’offre de stationnement sécurisé vélo (10 000 places) en prenant compte des besoins spécifiques des vélo-cargos dans le choix et le positionnement du matériel > Financer un équivalent de ECORENOV pour la création de local-vélo dans les copropriétés et les entreprises. > Promouvoir activement le programme Alvéole auprès des acteurs publics : collectivités, bailleurs sociaux etc. (https ://programme-alveole.com)

Commentaire :
Des locaux adaptés sont nécessaires pour répondre à des situations particulières sous réserve d’accord avec les gestionnaires privés, et syndics.

Intégrer dans le PLU l’obligation de locaux vélos fonctionnels dans les immeubles d’habitation et tertiaires, les ERP, et subventionner la création de locaux vélos dans les copropriétés et dans l’habitat social.
L’enquête de Nova7 et Systra en juin 2019 a établi que 48 % des cyclistes n’ont aucune solution de stationnement adaptée à leur domicile (type local fermé) et se débrouillent comme ils peuvent : 2 4% garent leur vélo dans leur appartement, 14 % dans leur cave, 10 % sur leur balcon, … Objectif d’ici 2026 : > Renforcer l’information et les contrôles des permis de construire pour garantir le respect des obligations de stationnement vélo

Commentaire :
Le bon sens veut qu’à nouveau besoin, des nouvelles solutions soient trouvées, et trouvées en amont des projets.

Aménager des aires logistiques de livraison pour faciliter les livraisons en ville par vélo cargo.
Il est urgent de désengorger les villes des camions et repenser la logistique. Les vélos cargos permettent de transporter jusqu’à 500 kg. Objectifs d’ici 2026 : Soutenir les “boîtes à vélo” en augmentant et en élargissant l’aide à l’achat de vélo-cargo pour les professionnels, en déployant des solutions de stationnements, etc.

Commentaire :
Ceci pourrait être une solution de livraison pour les commerçants et permettrait la création d’emploi dans la livraison, donc le bon sens économique et environnemental est sur ce point indispensable pour le bien commun de tous.

Créer une aide à l’achat d’un vélo pour les particuliers et pour les entrepreneurs locaux (achat de remorque, vélo-cargo, triporteur, VAE, vélos pliants).
Il faut déployer une aide à l’acquisition d’un vélo qui puisse répondre aux déplacements du quotidien (trajet domicile-travail, dépose d’enfants à l’école, courses etc.). Cette offre doit concerner aussi bien des vélos neufs que d’occasion et tous types de vélos : vélos standards, pliants, VAE, cargo, vélos adaptés… Objectifs d’ici 2026 : > Quadrupler l’enveloppe attribuée pour l’aide à l’achat sur tous types de vélos, neufs ou d’occasion > Généraliser le “pack autonomie Vélo “ (l’acquisition d’un vélo à réparer + accompagnement dans la réparation de ce vélo, vélo-école, savoir-rouler, etc.)

Commentaire :
Une aide pécuniaire via une défiscalisation devra être mise en place afin que les personnes puissent financer ce genre d’investissement de bon sens qui est le bon sens même.

Favoriser l’implantation de services de location courte et longue durée de vélos (incluant vélos pliants, vélos cargo, VAE) et proposer une tarification adaptée (à destination des jeunes et des foyers à faibles revenus par exemple).
Pour développer le vélo sous toutes ses facettes, le déploiement des services de location de vélos, courte et longue durée, en complémentarité de l’offre actuelle de location de Vélo’v et Myvelo’v (location longue durée de VAE), est indispensable pour répondre à différents usages (vélos cargos, vélos pliants et remorques, sacoches, sièges enfants, etc.) et pour toucher tous les publics (vélo enfants, tandems pour seniors et personnes en situation de handicap, etc.)

Commentaire :
La première des libertés est la liberté de choix, ainsi l’offre économique doit être adaptée à la liberté de choix et des besoins pour tous.

Soutenir les associations de services vélo (vélo-écoles, ateliers de réparation) et mettre des locaux à disposition de ces associations.
Objectifs d’ici 2026 : > Mailler le territoire pour que tout Grand Lyonnais ait un atelier ou une vélostation à moins de 3-5 km du domicile ou du lieu de travail > Décupler les vélos-écoles (pour les particuliers, pour les structures sociales, les personnes en insertion ou encore celle à destination des personnes à mobilité réduite) > Mettre à disposition des locaux adaptés aux ateliers : (https ://wiklou.org/wiki/Trouver_un_local) > Soutenir une coordination des ateliers vélos (financement de postes par ex.) > Organiser la fourrière à vélo pour aider à structurer et financer le processus de collecte des vélos abandonnés.

Commentaire :
Toutes les associations apolitiques dont le seul et unique but est : le bien commun pour améliorer la qualité de vie des lyonnais, sera alors de bon sens et devra être soutenue.

Créer une maison du vélo accueillant les acteurs associatifs vélo et donnant une visibilité à la politique cyclable de la ville.
Il faut soutenir la Maison du Vélo Lyon actuelle (ex Pignon sur Rue) et renforcer ses moyens d’accompagnement au changement de pratiques, ses capacités d’accueil et d’information des visiteurs ainsi que de sensibilisation du grand public aux avantages de rouler à vélo en ville et ce en toute sécurité.

Commentaire :
Idem que pour l’action 16, une cohérence de bon sens.

Créer une agence d’écomobilité, Il est nécessaire de créer une agence d’écomobilité de la métropole de Lyon, qui coordonne toutes les initiatives contribuant à valoriser les offres alternatives à la voiture autosoliste et placer au centre la solution vélo. Elle facilitera l’accès à l’information, accompagnera les changements de pratiques et conseillera les habitants sur les solutions de mobilités alternatives les plus adaptées à leur trajet.

Commentaire :
Une solution alternative le cas échéant où les conditions sont réunies dans le respect des besoins et aspirations des habitants.

Promouvoir une culture vélo

Favoriser le déploiement du programme national “savoir rouler à vélo” dans les écoles primaires, en équipant les écoles de stationnement vélo grâce au programme Alvéole. Le stationnement sera ainsi pris en charge à 60% et la sensibilisation à 100%.
L’expertise des associations vélos de la métropole de Lyon en matière d’apprentissage sur les déplacements à vélo en circulation permet d’accompagner les établissements dans leurs différents projets “ savoir-rouler”. Objectifs d’ici 2026 : > Former les élèves de primaire des 59 communes au savoir-rouler > Continuer l’apprentissage du savoir-rouler dans les 121 collèges de la métropole > Impulser et suivre le lancement de lignes pédibus, de vélobus dans toutes les communes de la métropole.

Commentaire :
Nos jeunes doivent pouvoir circuler, sur des voies sûres et sans dangers. Le savoir rouler est le savoir rouler de tous les conducteurs.

Donner l’exemple : en tant que maire et élu·e·s, effectuer un maximum de déplacements à vélo.

Commentaire :
En ville, la majorité de mes déplacements se font en transport en commun, donc au plaisir de vous croiser en ville.

Créer une “journée sans voiture”. Pour encourager les Grand Lyonnais et leur donner envie de se déplacer à vélo, il faut développer une culture du vélo urbain. Cela passe par l’organisation d’événements de grande ampleur : Convergence Vélo (dans le cadre par exemple d'une journée sans voiture), Faîtes du Vélo, bourses aux vélos dans différentes communes de la métropole etc.
Objectif d’ici 2026 : > Multiplier les événements grand public pour toucher 100 000 personnes par an dans la métropole

Commentaire :
Créer un événement grand public oui, mais bloquer une ville comme Lyon pendant une journée n’est pas une mesure de bon sens, voire une restriction des libertés.

Lancer un plan de communication orienté sur le respect mutuel des usagers, sur les nouvelles dispositions du code de la route spécifiques au vélo (double sens cyclable, tourne à droite, sas vélo) et battre en brèche les idées reçues.
Pour encourager les grands lyonnais à se déplacer à vélo, il faut développer une culture du vélo urbain en remplacement de l’image sportive véhiculée par le tour de France. Avec l’augmentation du nombre de cyclistes, le nombre de conflits entre piétons, cyclistes et automobilistes s’accroît également. Il faut donc (in)former au code de la rue d’une manière ludique et massive (partage de la rue, double-sens cyclable, cédez-le-passage cycliste au feu, stationnement très gênant sur bande cyclable etc). Et continuer le travail initié avec les polices municipales pour des campagnes de sensibilisation, voire de verbalisation. Objectifs d’ici 2026 : > 100.000 personnes touchées par an > Organiser plusieurs campagnes de communication / an : informatives (généralisation du DSC, M12, danger des angles morts…) ou ludiques pour donner envie de passer à la pratique du vélo au quotidien

Commentaire :
La sécurité routière passe par la formation et la sensibilisation avant de passer par la répression, c’est une action de bon sens.

Inciter financièrement les entreprises à organiser des animations pro-vélo : atelier mobile d'auto réparation + formation conduite à vélo en ville. Ces ateliers seront assurés par les associations vélos de Lyon dans le cadre des plans de déplacements de mobilité (PDM) et le coût sera pris en charge à 50 % par la Métropole de Lyon. Objectifs d’ici 2026 : > Accompagner 700 entreprises (notamment les entreprises de plus de 100 salariés qui sont soumises à un PDM) > Proposer des incitations financières pour des services vélo, des ateliers de sensibilisation, des formations.

Commentaire :
Sous réserve d’un coût raisonnable, et d’accord avec les partenaires économiques.

Commentaires généraux

La politique de circulation est un tout, qui inclut les vélos, ainsi que les adaptations techniques et sociales dans une ville intelligente. C’est pourquoi toutes les actions de bon sens et de bonne gestion des ressources seront nos priorités afin de garantir une meilleure qualité de vie des lyonnais.