Engagements de Richard Palmer pour Divonne-les-Bains (01220), au nom de la liste « Divonne-les-Bains ».

Adopter (ou renouveler) un plan vélo local ambitieux, financé et concerté, dès le début du mandat

Adopter un plan vélo ambitieux, financé et concerté en début de mandat qui inclut un réseau cyclable communal, doté d’un comité vélo et d’une charte de qualité des aménagements cyclables.
Alors que la moyenne nationale est actuellement de 9 euros, la FUB (www.fub.fr) recommande un budget vélo entre 15 et 30 euros par an et par habitant.

Commentaire :
Ça fait 25 ans que je fait du vélo autour de Divonne, et 5 ans depuis que je n'ai plus de voiture. Aujourd'hui donc j'utilise le vélo (et le transport en public bien sur) pour mes voyages, à Genève, à Lausanne, à Gex, à Ferney Voltaire... Il y a eu du progrès dans le développement de pistes cyclables mais il reste beaucoup à faire.

Mettre en place un comité vélo régulier se réunissant au minimum 2 fois par an.
Ce comité rassemble l'ensemble des usagers (piétons, cyclistes, parents d'élèves, commerçants, PMR) et s'assure que le plan vélo adopté (voir mesure 1) est bien appliqué. En cas de blocage, il identifie des leviers pour lever ces derniers.

Commentaire :
Il me pareil très important, l'idée de rassembler tous les usagers de la mobilité douce car le respect entre tous les membres de la communauté est essentiel pour que l'initiative est un succès.

Développer un réseau cyclable cohérent

Créer des connexions entre le réseau cyclable local et celui des communes voisines. Avec le développement du vélo électrique et d'autres vélos spéciaux (cargo, pliants, vélomobiles...) parcourir des distances de 7 voir 15 kilomètres devient tout à faire envisageables à vélo... à condition de disposer d'infrastructures adaptées. Il est donc indispensable de penser le vélo au-delà de l'échelon communal.

Commentaire :
Tout à fait, il nous des réseaux qui rassurent les usagers tout en leur donnant une véritable alternative de déplacement qui est sur et efficace.

Réduire les coupures urbaines, en s'appuyant sur le plan vélo du gouvernement et son fonds mobilités actives « Continuités cyclables », doté d'un budget de 50 millions d’euros en 2019. Pour des investissements moindres, la collectivité pourra se tourner vers la DSIL (dotation de soutien à l'investissement local). Les coupures prioriraires pourront être identifiées en utilisant la cartographie des 400 000points relevés grâce au baromètre "parlons-vélo" de la FUB : https://carto.parlons-velo.fr/

Commentaire :
Je reviens à mon commentaire précédent.

Construire une ville agréable à vivre pour toutes et tous

Pour lutter contre les accidents imputables au phénomène des angles morts, interdire - dès que la législation le permettra - les poids lourds non équipés de radars avancés de détection de cyclistes et piétons. Idéalement précisez dans le commentaire si vous êtes prêts à nous aider à promouvoir cette possibilité dans le cadre de la prochaine loi de décentralisation.

Commentaire :
Il s'agit d'une campagne d'éducation pour tous, ainsi que l'emploi de la technologie disponible.

Actionner tous les leviers nécessaires au développement du vélo

Créer des locaux vélos dans les écoles et les équipements publics.
Ces derniers peuvent être financés avec le concours du programme Alvéole, voir https ://programme-alveole.com/

Anticiper l’interdiction du stationnement motorisé à moins de 5 mètres des passages piétons en 2026, en transformant au plus tôt ces places en stationnement vélo.
Il s'agit d'une mesure de la LOM (Loi d'orientation sur les mobilités).

Promouvoir une culture vélo

Favoriser le déploiement du programme national “savoir rouler à vélo” dans les écoles primaires, en équipant les écoles de stationnement vélo grâce au programme Alvéole. Le stationnement sera ainsi pris en charge à 60% et la sensibilisation à 100%.
Pour en savoir plus, aller sur https ://programme-alveole.com/

Commentaire :
J'ai 65ans, j'adore rouler à vélo, les jeunes sont plus capable que moi.

Donner l’exemple : en tant que maire et élu·e·s, effectuer un maximum de déplacements à vélo.
C'est le levier qui est le moins onéreux, cependant il est très efficace auprès d'une partie de la cible des politiques publiques en faveur du vélo, à condition de venir en complément des autres actions, plutôt que de s'y substituer.

Commentaire :
Je n'ai pas de voiture, c'est cela que je fait.

Réprimer systématiquement le stationnement illicite sur trottoir et/ou aménagement cyclable.

Commentaire :
Il faut éduquer, éduquer, éduquer!

Commentaires généraux

J'ai toujours fait du vélo; depuis l'age de 8 ans, quand j'ai appris devant chez Grand-maman. J'ai eu mon première accident à vélo à 10 ans quand j'ai tourné à droit (en Angleterre) et un pauvre chauffeur de Landrover m'a renversé; rien de grave sauf un terrible souci pour le chauffeur. Quand j'avais entre 10 et 14 ans Je faisait des longues journées de découvertes à vélo avec mes potes dans la campagne de l'Angleterre. En faisant des cours de vitesse sur une pente avec mon meilleur ami à Buckingham j'ai eu mon deuxième grand accident à vélo, le mécanicien nous a interroger pour être sur qu'il n'y a pas eu une voiture dans le carambolage, mais non, et nous avons échappé belle, mais pas les vélos. Puis, à l'age de 16 ans l'école a organisé une visite d'échange avec une école à Joinville en France, ou nous avons fait pas mal de vélo, ai eu mon troisième grand accident à vélo, encore avec mon meilleur ami de Buckingham, en allant très vite en descendant une route de montagne; la femme du fermier qui est venue à notre aide m'a fait découvrir des merveilleuses pommades antiseptique en jaune et en orange! A l'age de 17 ans, c'était l'époque de la voiture et bien que j’ai continué d'utiliser mon vélo pour mes déplacements, il y a eu une longue période - université, travail - ou j'ai eu moins de temps pour faire du vélo. Néanmoins, domicilié à Londres pendant 13 ans j'ai ré-découvert l'efficacité du vélo comme moyen de transport, en faisant également plusieurs longues trajets en groupes de bénévoles - Londres à Cambridge, Londres à Brighton - sur des variétés bizarres de vélos. En 1989 je suis venu travaillé à Genève ou j'ai fait aussi du vélo. Entre 1991 et 1992, je me suis retrouvé à la siège de mon employeur à Chardon, Ohio, USA ou, quand je ne voyageais pas, je faisait l'aller retour au bureau ( à travers un paysage Amish fabuleux) et j'ai trouvé que j'étais le seul cycliste de mon bureau; absence totale de parking à vélo, mais des douches disponible dans le bâtiment! Je suis retourné des Etats-Unis avec mon vélo de cours et mon nouveau VTT. Une fois installé à Divonne-les-Bains en 1993 j'ai commencé faire du VTT ainsi que du vélo de route. Avec l'age et les conséquences de l'usure des articulations à cause du rugby, je me suis retrouvé avec de plus en plus de douleur des articulations de genou, jusqu'au point ou mon médecin m'a dit qu'il serait bien d'arrêter de courir et de faire du vélo. J'ai donc ré-découvert la plaisir du vélo en faisant des sorties avec mon ami Jean di Stefano et beaucoup d'autre VTTistes de toutes nationalités. J'ai trouvé également que c'était un énorme plaisir de faire les trajets Divonne-Genève, Divonne-Lausanne, etc. à vélo. Aujourd'hui je note que le réchauffement planétaire prévu dans le livre Gaia de Dr James Lovelock est devenu non seulement une réalité, mais un problème sérieux pour l'être humaine. Le vélo représente un moyen important dans la lutte contre ce réchauffement du climat, ainsi qu'un méthode de préservation de santé d'une population qui devient de plus en plus âgée. J’essaie alors de convaincre les gens que le vélo est pour nous tous et toutes, la meilleure invention de l'être humaine.